Le gouvernement du Salvador, dirigé par le président Nayib Bukele, a adopté une loi controversée sur les "agents étrangers" qui donne aux autorités des pouvoirs étendus pour surveiller et sanctionner les organisations ayant des liens étrangers. Les critiques soutiennent que la loi vise à étouffer la dissidence, à restreindre le travail des groupes de la société civile et à limiter la liberté de la presse. L'arrestation récente de la militante des droits de l'homme de premier plan Ruth López a intensifié les préoccupations concernant l'érosion des normes démocratiques et le ciblage des critiques du gouvernement. Les organisations de défense des droits de l'homme et les experts politiques mettent en garde contre ces mesures qui signalent un glissement vers un régime autoritaire dans le pays. Ces événements ont suscité une condamnation internationale et ont soulevé des alarmes quant à l'avenir de la démocratie au Salvador.
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Pourquoi la loi sur les agents étrangers du président du Salvador Bukele alimente les inquiétudes démocratiques
Human rights organizations, politicians and experts have sharply criticized a law approved by El Salvador’s Congress this week that seeks to limit foreign influence and corruption
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El Salvador : La loi sur les agents étrangers vise la société civile et les médias
El Salvador’s Legislative Assembly has approved a far-reaching “Foreign Agents” law that grants the government of President Nayib Bukele broad powers to monitor, sanction, and dissolve organizations labeled as foreign agents,
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L'arrestation du leader des droits de l'homme au Salvador jette une lumière plus sombre sur le chouchou de Trump, Bukele.
Critics of Salvadoran President Nayib Bukele call his "arbitrary" arrest of human rights advocate Ruth López a deepening sign that El Salvador — where President Trump is sending hundreds of deportees this year — is today a dictatorship.